> Les ressources propres de la collectivité – taxes d’urbanisme versées par des promoteurs, fonds de compensation de la TVA, excédents capitalisés des exercices antérieurs… – représentent 38,3 millions d’euros (95% des recettes d’investissement).

> Les subventions reçues (2,1 millions d’euros) et l’autofinancement obtenu grâce à une gestion rigoureuse sont les deux autres éléments qui permettent de financer l’investissement.

> Hors excédents de fonctionnement capitalisés (31,5 millions d’euros), les recettes d’investissement s’élèvent à 8,9 millions d’euros en 2014.

> L’écart avec les recettes d’investissement 2013 (19,6 millions d’euros) s’explique par la forte baisse en 2014 des recettes d’urbanisme liées au Plafond Légal de Densité (?).
Depuis le 1er janvier 2015, une loi a supprimé cette recette qui ne bénéficiera donc plus aux villes.

> Très souvent, la construction d’un équipement se déroule sur plusieurs années et engage des sommes très élevées. Les dépenses d’investissement sont donc anticipées et suivies dans un document appelé « plan pluriannuel d’investissement ».

> Au total, les dépenses réelles d’investissement de la Ville s’élèvent à près de 56 millions d’euros et 36,6 ont été réalisées en 2014.

> Ces dépenses portent sur de nombreuses réalisations dans tous les domaines :
. les sports (construction de la piscine du Fort, rénovation de la piscine Sevestre, isolation acoustique du gymnase Paul Bert),
. l’éducation (rénovation de l’école des Ajoncs, fourniture de mobiliers pour les écoles…),
. l’administration générale (travaux de voirie et d’entretien des bâtiments publics…)

> Pour en savoir plus, visualisez dans la partie « Les réalisations » du rapport financier